The Enemy is at the Gates: Berlin
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Les Allemands de l'Est étaient bien préparés pour attaquer et conquérir Berlin-Ouest. Chaque étape du processus a été minutieusement planifiée. La bataille ne devait pas durer plus de trois jours. Les installations et infrastructures principales seraient les premières cibles. Les aéroports et les gares seront détruits. Les forces de l'OTAN présentes dans la grande ville devront être écrasées sans espoir de répit. Après la défaite totale des forces armées ennemies organisées dans la ville, la deuxième phase de l'opération communiste prévoit l'emprisonnement des politiciens, des officiers de police, des journalistes et de tous ceux qui sont considérés comme un danger pour l'État. Du régiment de la Garde Friedrich Engels à la première division de fusiliers motorisés, en passant par les forces paramilitaires du parti socialiste, l'Allemagne de l'Est était prête. Les Soviétiques disposaient de leur propre force d'élite, la 6e brigade de fusiliers motorisés de la garde séparée à Berlin-Est, prête à participer au combat. Et si les plans venaient à déraper, l'imposante 35e division de fusiliers motorisés se trouvent à 10 miles à l'ouest, prête à intervenir en cas de besoin. Les forces du Pacte de Varsovie étaient massivement supérieures en nombre aux forces isolées de l'OTAN.
Mais l'OTAN n'était pas si mal préparée à ce qui risquait d'arriver. Bien que les forces en présence ne se fassent pas d'illusions sur ce qui se passerait sans doute en cas de guerre, elles sont également bien entraînées et prêtes à donner le meilleur d'elles-mêmes. L'OTAN disposait de trois brigades indépendantes à Berlin-Ouest. La célèbre "Berlin Brigade", bien équipée, de l'armée américaine, la Berlin Infantry Brigade du Royaume-Uni et les Forces françaises à Berlin de l'armée française. Trois brigades puissantes entièrement armées de chars, de véhicules de combat d'infanterie et d'artillerie. En outre, les forces de police ouest-allemandes, nombreuses mais moins bien équipées, se tenaient aux côtés de leurs alliés de l'OTAN. Le combat sera peut-être plus rude que ne l'imaginaient les stratèges est-allemands. Le décor est planté. Le combat allait commencer dans cette étrange réalité aux premières heures du 1er août 1985, dans ce cauchemar alternatif qui n'a jamais eu lieu. L'artillerie illumine le ciel.
The Enemy is at the Gates est le deuxième volet de la série Modern War, qui utilise le célèbre Company Scale System. Les joueurs mèneront cette bataille en utilisant principalement des compagnies à l'échelle de 500 mètres par hexagone. Chaque tour dure 2 heures et le jeu utilise un système de "chit-pull" qui permet de jouer en face à face de manière imprévisible et de vivre une excellente expérience en solitaire. Les cartes sont minutieusement dessinées par Antonio Pinar, ce qui en fait peut-être la meilleure carte urbaine jamais réalisée. Greg Sarnecki est également de la partie pour fournir l'ordre de bataille le plus précis jamais réalisé pour cette campagne. Il s'agit du jeu ultime de guerre urbaine moderne à grande échelle. Comme il sied à un jeu sur la guerre moderne, la puissance aérienne, les hélicoptères, la guerre électronique, les armes chimiques et le sabotage seront également inclus. L'utilisation efficace de toutes vos armes déterminera le vainqueur de la bataille de Berlin !
Informations sur le produit :
- Complexité : 8 sur 10
- Jeu en solitaire : 8 sur 10
- Échelle de temps : 2 heures par tour
- Échelle de carte : 500 mètres par hexagone
- Echelle des unités : Compagnie/plateau
- Joueurs : 1-4
- Durée de jeu : 2 à 50 heures selon le scénario
Scénarios :
- 8 scénarios sont inclus
Matériel :
- Quatre cartes de 56x86cm
- Une carte de 21x28 cm
- Neuf planches de pions de 16 mm
- Un livre de règles CSS
- Un livret de règles exclusives
- Deux CRT et TEC
- Un écran météo/date
- Huit écrans de division
- Un livre de scénarios
- Quatre dés à dix faces
- Une boîte et son couvercle
Crédits du jeu :
- Concepteur : Adam Starkweather
- Graphiste : Antonio Pinar